emma peters

jeudi 18 Septembre 2025

Tout de suite: plus qu’un mantra ou une profession de foi, trois mots qui résonnent comme l’affirmation d’un désir pur. Un appétit qui guide la vie d’Emma Peters chaque jour. Surtout depuis deux ans et la sortie de son premier album, Dimanche :clin d’œil à son jour préféré ,celui où, depuis sa chambre, elle diffusait sur YouTube des reprises de ses titres préférés.
 
Une habitude qui lui a valu des millions de streams, en France comme à l’étranger. Depuis, tout a changé. Un album, des concerts, les Victoires de la musique : Emma apprend tout, tout de suite. Elle découvre l’euphorie de la vie sur la route, la solitude aussi, ces “dimanches qui deviennent des lundis”. Un tourbillon dans lequel elle plonge avec l’audace de ceux qui savent que c’est parfois en tanguant qu’on apprend à danser. Et que les grands bonheurs naissent souvent du danger: c’est d’ailleurs au Risque qu’elle dédie sa chanson la plus orageuse, mais aussi la plus singulière :on y découvre sa guitare transfigurée, une batterie à fleur de peau, et son flow plus fluide que jamais. 
 
Tout de suite est né, comme Dimanche, dans la chambre d’Emma. 
Une chambre dont elle a écarté les murs. Si la guitare acoustique reste son fil rouge, elle l’habille de nouvelles couleurs, afrobeat ou bossa. 
 
Et s’aventure plus loin dans les univers qui l’inspirent depuis toujours, de la puissance frontale du rap français à la grâce extrême des chansons de Michel Berger ou Véronique Sanson. De nouveaux horizons vers lesquels l’accompagnent de nouveaux collaborateurs : Sage, “songdoctor” pour Clara Luciani, Lomepal ou Eddy de Pretto ; Boumidjal, « hitmaker » chez Niskaou Damso, qui a contacté spontanément Emma sur Instagram après avoir entendu ses chansons. 
 
Retour en haut